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- 19 janvier 2004 : le juge Armand Riberolles clôt ses investigations et l' instruction de l' affaire des HLM de Paris .
- Février 2005 : le parquet de Paris requiert un non- lieu en_faveur_de Jean Tiberi , accordé par le juge Armand Riberolles .
Il demande toutefois le renvoi devant le tribunal correctionnel de la majorité de la cinquantaine de personnes mises en examen .
- Juin 2005 : l' ex- conseiller général RPR des Hauts-de-Seine Didier Schuller et le député-maire -LRB- UMP -RRB- de Levallois-Perret Patrick Balkany comparaissent devant le tribunal correctionnel de Créteil dans l' affaire des HLM des Hauts-de-Seine .
Le Procès en première instance
- Le procès de l' affaire des HLM de Paris s' est déroulé dans l' indifférence du 23 décembre 2005 au 5 avril 2006 .
- Les hommes politiques -clés de la capitale comme Jean Tiberi , Michel Roussin ou Jacques Chirac ont bénéficié de non- lieu , de vices de forme ou de protection statutaire .
Selon l' accusation : " L' instruction n' est pas parvenue à établir formellement l' implication personnelle des responsables au_sein_de l' appareil politique du RPR . "
- En l' absence de tout responsable politique , c' est l' ancien directeur général de l' Office public HLM de Paris et élu corrézien , Georges Pérol , qui fait figure de clé de voûte de ce vaste système de versements de commissions par les entreprises et de détournement de procédures dans l' attribution de marchés publics .
Contre lui , le parquet a requis quatre ans d' emprisonnement avec sursis , 50_000 euros d' amende et trois ans d' interdiction des droits civiques et civils .
- Le 14 mars 2006 , des peines de prison avec sursis et des amendes ont été requises contre 41 des 49 prévenus du procès de l' office public HLM de Paris -LRB- OPAC -RRB- , considérés comme les acteurs ou les complices d' un " système de fraude de grande envergure , parfaitement organisé " et destiné à " constituer des caisses noires " , selon les mots de la vice-procureure , Chantal de Leiris .
Évoquant dès le début de son réquisitoire , devant la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris , la question du financement politique , elle a relevé que " l' instruction n' a pas trouvé de réponse et s' est heurtée au silence et aux flux financiers des sociétés off-shore " .
- 5 avril 2006 : dernier jour du procès des HLM de paris consacré aux plaidoiries .
Pendant deux mois et demi de débats , une cinquantaine de chefs d' entreprise ont été entendus et ont reconnu avoir versé des fonds contre l' obtention de marchés des HLM de Paris .
Aucun financement politique occulte n' a pu être mis en évidence .
L' utilisation de sociétés-écrans basées dans des paradis fiscaux -LRB- voir société panaméenne et fiduciaire suisse -RRB- a empêché de retracer les flux financiers .
Les marchés truqués
Les ascenseurs des HLM de Paris
- Le contrat de maintenance et de rénovation des 3_092 cabines d' ascenseurs des immeubles d' HLM parisiens est attribué en 1992 .
Le marché est important : 2,2 milliards de francs sur quinze ans , soit un budget annuel de 140 millions de francs .
- Trois entreprises sont retenues : la Somatem , filiale de la Lyonnaise des eaux , la CG2A , filiale de l' ex- Compagnie générale des eaux -LRB- CGE , devenue Vivendi -RRB- , et le groupe américain Otis .
Otis refuse de traiter avec Jean-Claude Méry et obtiendra un petit lot en rémunérant un autre intermédiaire .
- L' enquête a montré que , pour cet appel d' offres , des commissions avaient été versées , via le règlement de factures d' " assistance commerciale " à l' une des sociétés de Jean-Claude Méry .
Un dirigeant de la CG2A , lors_de l' attribution du marché , a ainsi déclaré au juge avoir acquitté de semblables factures au mois de février 1992 " parce_que la commission d' appel d' offres se réunissait la semaine suivante " .
Jean-Claude Méry , expliquait -il , lui avait mis " le couteau sous la gorge " .
Le dirigeant de la Somatem , lui , avait confirmé , sur procès-verbal , que ce marché devait entraîner " le versement d' une commission d' entre 1 % et 5 % du montant du marché , dont le paiement devait s' effectuer à_l'_étranger " .
- Questionné le 11 mai 1998 , Jean-Claude Méry avait , pour sa part , reconnu avoir " demandé 1,5 % du marché , qui [ lui ] ont été versés en Suisse " , mais il n' avait pas évoqué de destination politique .
Collusions maçonniques
Comme dans d'_autres affaires politico- financières françaises des années 1990 , plusieurs protagonistes de cette affaire appartiennent à des loges maçonniques : Jean-Claude Méry , Jacky Chaisaz , Didier Schuller -LRB- loge Silence de la GLNF -RRB- .
Références
- HLM de Paris : les seuls patrons du bâtiment à la barre - Libération - 23/12/2006
- Le Monde du 22 septembre 2000
Catégories : Affaire politico- financière française .
Financement illégal des partis .
Rassemblement pour la République .
Paris .
Histoire de Paris
Affaire des marchés publics d' Île-de-France
L' affaire des marchés publics d' Île-de-France ou Affaire des marchés truqués des lycées d' Île-de-France est un dossier emblématique des dérives du financement des partis politiques dans les années 1990 .
Cette affaire politico- financière française porte sur le financement par les marchés de construction et d' entretien des lycées des grands partis politiques français : RPR , PR , PS , PCF , organisés en cartel .
Seuls les Verts et le FN n' ont pas participé à ce détournement .
Les montants détournés aux frais du contribuable francilien se montent à plusieurs dizaines de millions d' euros -LRB- 300 à 600 millions de francs -RRB- .
La rénovation des lycées d' Île-de-France
Chargé des lycées depuis les premières lois de décentralisation , le conseil régional dirigé par le RPR et dont le président était Michel Giraud a engagé , entre 1988 et 1997 , 24 milliards de francs de travaux de rénovation , extension et construction dans 471 établissements , il a été prélevé 2 % de " commissions occultes " que se sont partagés ces grands partis , au prorata de leur représentation à l' assemblée régionale -LRB- 0,8 % pour la gauche et 1,2 % pour la droite -RRB- .
Selon l' accusation , les entreprises qui se voyaient attribuer des marchés de construction des lycées d' Île-de-France devaient reverser 2 % de leurs montants aux partis : RPR , PS , Parti républicain .
La plus grosse part -LRB- 1,2 % -RRB- du " racket " revint au RPR , alors dirigé par Jacques Chirac , secondé par Michel Roussin .
En cinq ans , pour la seule période comprise entre 1990 et 1995 , le RPR recevra 53 millions de francs , le PS arrive en deuxième position , avec 46,7 millions , suivi du Parti républicain -LRB- 32,6 millions -RRB- et du PCF -LRB- 21 millions -RRB- .
Soit , au_total , un_peu_plus de 150 millions de francs ont été versés par les grands groupes : Bouygues , Eiffage , Spie-Batignolles , Suez et Générale des eaux .
Protagonistes
- Michel Roussin , ex- bras droit de Jacques Chirac à la mairie de Paris .
- Louise-Yvonne Casetta , trésorière occulte du RPR , ancêtre de l' UMP .
- Jean-Claude Méry , ancien collecteur de fonds occulte du RPR , décédé .
Le dossier d' instruction comporte ses célèbres " confessions " posthumes , publiées en 2000 -LRB- Cassette Méry -RRB- .
Il y racontait notamment avoir remis peronnellement des fonds en espèces en 1986 à Jacques Chirac en_présence_de Michel Roussin .
- Gérard Peybernès , ex- président de l' association de financement du PS .
- Jean-Pierre Thomas , ancien trésorier du Parti républicain Jean-Pierre Thomas -LRB- 15 mois avec sursis et 5.000 euros d' amende -RRB- .
- Guy Drut
- Gérard Longuet
Les voyages de Jacques Chirac
L' un des volets de ce dossier concerne les voyages payés en espèces par Jacques Chirac -LRB- Affaire des billets d' avion de Jacques Chirac -RRB- .
La justice soupçonne que l' argent liquide ayant servi à régler les billets d' avion -LRB- pour un montant de 336.210,00 EUR -RRB- puisse provenir de versements en espèces des commissions occultes versées par les entreprises de BTP attributaires des marchés publics , ce qui serait un abus de biens sociaux .
Jacques Chirac affirme que cette somme , qui n' apparaît pas dans sa déclaration de patrimoine , provient des fonds spéciaux conservés lorsqu' il était Premier ministre .
Aucun lien n' a pu être établi entre ces espèces et l' argent de la corruption des marchés d' Île-de-France .
Selon le procureur Jean-Pierre Dintilhac , rien ne s' opposait à une audition de Jacques Chirac comme témoin assisté dans cette affaire .
Cependant , par un jugement de la Cour de cassation , les tribunaux ne peuvent examiner les investigations menées sur les voyages payés en espèces par Jacques Chirac pour plusieurs millions de francs , qui avaient motivé en 2001 l' interrogatoire par les juges d' instruction de plusieurs proches du chef de l' État , dont sa fille Claude Chirac .
Le chef de l' État , qui bénéficie d' une immunité pénale pendant la durée de son mandat , n' a jamais commenté en détail le dossier , expliquant simplement en 2000 qu' il ne " pouvait pas croire " à une corruption impliquant droite et gauche .
Enquête et instruction
L' affaire fut instruite par le juge Armand Riberolles à_partir_de 1997 .
Le 1er décembre 2000 , Michel Roussin , ancien ministre RPR et ancien directeur du cabinet de Jacques Chirac à la Mairie de Paris , est incarcéré , tandis_que Louise-Yvonne Casetta , ex- trésorière officieuse du RPR , est mise en examen .
Michel Roussin est libéré sous caution et placé en liberté sous contrôle judiciaire le 5 décembre 2000 .
Le juge Armand Riberolles a renvoyé Michel Roussin et 46 personnes devant le tribunal correctionnel .
Le 11 février 2004 , l' ordonnance de renvoi devant le tribunal de 47 prévenus a été signé par le juge Armand Riberolles .
Dans son ordonnance , Jacques Chirac est évoqué a plusieurs reprises , mais le juge ne peut pas poursuivre le président de la république qui est protégé par son immunité .
Procès en correctionnelle
Une cinquantaine de personnes ont été renvoyée devant le tribunal correctionnel de Paris .
Le procès en première instance s' est terminé le mercredi 26 octobre 2005 .
Le tribunal a condamné 43 prévenus , dont 14 ont fait appel .
- Michel Giraud a été condamné à 4 ans de prison avec sursis et 80_000 euros d' amende .
À noter que le parquet avait demandé un an de prison ferme contre lui .
Cette peine inclut une privation des drois civiques , civils et de famille pendant une durée de cinq ans .
- Michel Roussin , reconnu coupable de complicité et recel de corruption , a été condamné à 4 ans de prison avec sursis et une amende de 50_000 euros .
- Guy Drut , député UMP , champion olympique du 110 mètres haies en 1976 et ministre des Sports RPR de 1995 à 1997 , a été condamné à 15 mois de prison avec sursis et 50.000 euros d' amende pour un emploi fictif .
Guy Drut a été amnistié en mai 2006 par le président Jacques Chirac .
Son casier judiciaire ainsi blanchi , Guy Drut a pu garder son siège de membre du Comité international olympique -LRB- CIO -RRB- et les avantages et prébendes de cette fonction .
- Jean-François Donzel , élu écologiste dissident de Génération écologie , a été condamné à un an de prison ferme -LRB- trois ans de prison dont deux avec sursis -RRB- .
- Gérard Longuet , l' ancien président du Parti républicain , a été relaxé .
- Louise-Yvonne Casetta , trésorière occulte du RPR , a été reconnue coupable de complicité et recel de corruption , et a été condamnée à 20 mois de prison avec sursis et 10_000 euros d' amende .
- Gérard Peybernès , ex- président de l' association de financement du PS , a été condamné à 15 mois de prison avec sursis et 8.000 euros d' amende .
- Jean-Pierre Thomas , ancien trésorier du Parti républicain , a été condamné à 15 mois avec sursis et 5.000 euros d' amende .
- Des chefs d' entreprise ont également été condamnés .
Procès en appel
Onze personnes comparaissent dans un procès en appel à_partir_du 17 octobre 2006 .
En grande majorité , les condamnés ont renoncé à faire appel , comme l' ex- président du conseil régional Michel Giraud , l' ex- trésorier du Parti républicain Jean-Pierre Thomas et Gérard Peybernès , ancien président de l' association nationale de financement du PS .
Le procès doit s' étaler sur cinq semaines , jusqu'_au 22 novembre 2006 , à_raison_de deux jours d' audience par semaine en_moyenne .
L' audience d' appel survient après la nomination par Jacques Chirac le 13 septembre 2006 d' un de ses anciens conseillers , Laurent Le Mesle , au poste de procureur général de Paris .
Ce magistrat ne sera pas physiquement présent à l' audience mais sera en position de dicter les réquisitions au magistrat chargé du procès .
Références
- revue de presse sur le site de Denis Touret .
- article de l' Express
Voir aussi
- Claude-Annick Tissot
- Guy Drut
- Gérard Longuet
Catégories : Affaire politico- financière française .
Affaire des marchés publics d' Ile-de-France .
Financement illégal du RPR
Affaire des matches truqués du Calcio
L' affaire des matches truqués du Calcio -LRB- aussi appelé Calciopoli , voire Moggiopoli pour la presse hostile à la Juventus , du nom de Luciano Moggi -RRB- est un scandale sportivo- financier secouant en 2006 le championnat de football italien .
Plusieurs clubs sont accusés d' avoir influencé la désignation des arbitres pour leurs matches .
Le scandale des matches truqués
Au printemps 2006 , le scandale éclate suite_à la publication dans la presse italienne -LRB- La Gazzetta dello Sport et Il Corriere della Sera -RRB- de compte-rendus d' écoutes téléphoniques ordonnées par la justice deux ans plus tôt .
Le public prend connaissance des conversations de Luciano Moggi , directeur général de la Juventus , et Pierluigi Pairetto , ancien arbitre , chargé par la fédération italienne de football de sélectionner les arbitres pour les rencontres de championnat entre 1999 et 2004 .
Lors_de ces échanges , Moggi donnait ses instructions pour la désignation des arbitres dans le matches de son équipe .
En septembre 2005 , le parquet de Turin avait dans un premier temps classé l' affaire , les écoutes téléphoniques ne permettant pas d' établir de corruption ou d' achat de match .
Mais la parution dans la presse révolte l' opinion publique .
Sepp Blatter -LRB- président de la FIFA -RRB- qualifie l' affaire de " plus gros scandale de l' histoire du football " .
suite_aux publications des conversations téléphoniques , la commission disciplinaire du football italien a été saisie du dossier .
Le scandale implique plusieurs clubs évoluant dans le championnat d' Italie de football : la Juventus de Turin , le Milan AC , la Lazio de Rome et la Fiorentina [ 1 ] .
Le procureur pense avoir affaire à " un système " sophistiqué " visant justement à se rendre invisible aux médias et à l' opinion publique en agissant lors_de phases de jeu " litigieuses " , mais pas sur des actions incontestables " .
Les douze membres du Conseil d' administration de la Juve , dont faisait partie Moggi , démissionnent le 11 mai 2006 [ 2 ] .
Mis en examen et accusé d' association de malfaiteurs destinée à la fraude sportive par le parquet de Naples , chargé de l' enquête , Luciano Moggi a été suspendu de toute fonction sportive pour une durée de cinq ans .
Le 14 juillet 2006 , le tribunal rend sa décision .
La Juve est déchue des titres acquis dans le Calcio lors_des saisons 2004-2005 et 2005-2006 et ne pourra prendre part à l' édition 2006-2007 de la Ligue des champions [ 3 ] .
Elle est rétrogradée en série B -LRB- 2e division -RRB- avec 30 points de pénalité où elle retrouvera la Fiorentina et la Lazio Rome reléguées avec respectivement 12 , et 7 points de pénalité .
La quatrième équipe concernée , le Milan AC , reste en Série A avec 15 points de pénalité , mais perd sa deuxième place et sera privée de Ligue des Champions la saison suivante .
Les clubs italiens font appel .
Ils mettent en_avant le manque de témoignages les concernant .
Le 25 juillet , contrairement_à ce que demandait le procureur Stefano Palazzi qui souhaitait une aggravation des peines , la cour fédérale d' appel de la justice sportive les revoit à la baisse .
La Juve est finalement le seul club relégué et le Milan AC , pénalisé de 30 points , passe de la seconde à la quatrième place et participera au tour préliminaire de la Ligue des Champions .
La Fiorentina et la Lazio de Rome restent en Série A mais sont privées de Coupe d' Europe .
Rebondissement le 27 octobre 2006 par suite de la décision de la Cour arbitrale du comité national olympique italien : les clubs condamnés voient leurs pénalités réduites de façon importante , ainsi la Juventus passe de 17 à 9 points de retard , la Fiorentina de 19 à 15 et la Lazio de 11 à 3 .
Seul le Milan AC n' a pas bénéficié dans cette décision d' une réduction de sa pénalité -LRB- 8 points -RRB- .
Condamnations intermédiaires
Notes & références
- ^ cf. " Quand la Juve choisit l' arbitre ... " , L' Équipe , 5 mai 2006
- ^ cf. " Le conseil démissionne " , L' Équipe , 11 mai 2006
- ^ cf. " La Juventus en Serie B " , L' Équipe , 14 juillet 2006
- ^ Relégation en Série B et annulation des deux derniers titres de Champion d' Italie
Voir aussi
Articles connexes
- Luciano Moggi
Liens externes
- Italie : Tout ça pour ça ? sur cent papiers
Catégories : Wikipédia : ébauche football .
Wikipédia : ébauche droit .
Histoire du football .
Football en Italie .
Affaire politico- financière italienne
Affaire des otages du Liban
Il est dix heures et demie , ce jeudi 5 mai 1988 , quand les trois derniers otages français du Liban , Jean-Paul Kauffmann , Marcel Carton et Marcel Fontaine , libérés la veille à Beyrouth après trois ans de captivité , arrivent à l' aéroport de Villacoublay où ils sont accueillis par Jacques Chirac et Charles Pasqua .
C' est la fin d' un cauchemar pour les trois hommes et leurs familles , et l' aboutissement d' une longue bataille à laquelle ont participé les autorités françaises de tous bords , mais aussi la presse et les Français qui ont été nombreux à manifester pour leur libération .
Marcel Fontaine et Marcel Carton , tous deux diplomates , ont été enlevés le 22 mars 1985 à Beyrouth , Jean Paul Kauffmann , journaliste , deux mois plus_tard alors à son arrivée dans la même ville où il vient faire un reportage .
Il est , au moment de son enlèvement sur la route de l' aéroport en compagnie du chercheur Michel Seurat , enlevé avec lui et qui devait mourir en captivité en mars 1986 .
Tous ces enlèvements sont revendiqués par l' organisation intégriste libanaise du Djihad islamique qui exige la fin de l' aide française à l' Irak alors en guerre contre l' Iran .
D'_autres enlèvements suivent en 1986 : en mars , c' est le tour d' une équipe d' Antenne 2 qui vient de filmer une manifestation du Hezbollah .
Philippe Rochot , Georges Hansen , Aurel Cornéa et Jean-Louis Normandin .
Les deux premiers sont libérés en juin , Aurel Cornéa en décembre de la même année et Jean Louis Normandin le 27 novembre de l' année suivante , en_même_temps_qu' un autre journaliste , Roger Auque , enlevé en janvier 1987 .
Entre-temps deux autres Français ont été enlevés et libérés à Beyrouth : Camille Sontag et Marcel Coudari .
Après la libération de Jean-Paul Kauffmann , Marcel Carton et Marcel Fontaine , restent encore aux mains de divers groupes terroristes les passagers d' un bateau de plaisance , le Silco , dont la Française Jacqueline Valente et ses filles , et quinze otages étrangers dont huit Américains .
Rebondissement
Le 13 janvier 2002 , à quelques semaines des élections présidentielles , une note de la DST , mystérieusement rendue publique -LRB- après un article de L' Est républicain -RRB- , indique que la libération des otages français au Liban -LRB- 1985-1988 -RRB- avait fait l' objet d' un paiement de rançon , ainsi_que d' un système de " rétro- commissions " qui aurait profité à Jean-Charles Marchiani et Charles Pasqua .
Les dirigeants de l' époque ainsi_que les otages libérés rétorquent qu' il n' y a pas eu de paiement de rançon .
Cette réponse " officielle " est bien compréhensible , les pouvoirs politiques préférant éviter de susciter de nouvelles vocations de preneurs d' otage .
Mais , les choses pourraient s' être passées différemment .
Cette note - qui est à l' origine d' une information judiciaire ouverte et confiée à la juge d' instruction Isabelle Prévost-Desprez - ne s' attarde pas réellement sur le paiement d' une hypothétique rançon , mais détaille plutôt un système de " rétro- commissions " qui y serait lié .
Selon cette note , publiée par Le Monde , le circuit est le suivant : des versements en provenance d' un compte suisse , dont l' homme d' affaires libanais Iskandar Safa est le titulaire , étaient faits sur deux comptes français .
Puis , les sommes étaient retirées par des proches de Safa et apportées à l' association France Orient , où elles étaient réceptionnées par J.-C. Marchianni ou sa secrétaire .
Sur l' année 2000 , les versements qui ont pu être retracés avoisineraient les 850_000 F !
Iskandar Safa , ainsi_que son frère , avait à l' époque permis d' identifier et de mieux comprendre l' influence de certains dignitaires iraniens sur les ravisseurs libanais , et aurait été rémunéré pour ce travail .
Il fait aujourd'_hui l' objet d' un mandat d' arrêt international , et dans un entretien accordé au Monde , il confirme la position " officielle " selon laquelle il n' y aurait pas eu de versement de rançon .
Cette défense est assez intelligente , car c' est l' État français lui-même qui lui fournit son alibi , en assurant qu' il n' y a eu à aucun moment paiement d' une rançon .
Dernier élément non négligeable et pourtant souvent " oublié par la presse " .
Dans leur ouvrage intitulé Révélation $ , Denis Robert et Ernest Backes expliquent comment le gouvernement de Ronald Reagan avait versé en 1981 une rançon pour la libération des otages américains en Iran .
Celle-ci a été de 7 millions de dollars , sous la forme de valeurs mobilières -LRB- 5 à prélever sur un compte de la Chase Manhattan Bank et 2 sur un compte de la Citibank -RRB- et a été versée à la Banque nationale d' Algérie , qui centralisait la rançon pour la reverser ensuite à une banque iranienne à Téhéran .
Selon les auteurs , " des petits malins , autour_de Reagan , avaient imaginé une liste de valeurs diverses pour égarer tout fouineur hypothétique .
Ils avaient composé la rançon sur des avoirs éparpillés à_travers le monde " dans des paradis fiscaux , c' était sans compter sur le système de clearing de la société Cedel , dans laquelle Ernest Backes travaillait , et qui centralisait les flux vers la banque algérienne .
Un article de The Observer retrace d'_ailleurs cette affaire , où là aussi , les élections présidentielles constituaient le principal enjeu .
Les similitudes avec notre affaire sont plus que troublantes .
Et si un juge décidait fouiller chez Clearstream -LRB- ex- Cedel -RRB- ou son concurrent Euroclear ... y retrouverait -on la trace du versement de cette rançon ?
Alors , à qui profite le crime ?
La droite crie au scandale et affirme que c' est Chirac que l'_on cherche à atteindre au travers de son ministre de l' Intérieur de l' époque .
Charles Pasqua accuse même Jospin d' avoir créé un " cabinet noir " , voué à déstabiliser la droite .
Le Canard enchaîné " verrait bien l' intérêt de Chevènement , ou de Villiers , qui chassent sur les mêmes terres que Pasqua " , avant_de conclure que " ni l' un ni l' autre ne disposaient des moyens nécessaires pour lancer pareil missile " .
Bibliographie
- Secret atomique , La bombe iranienne ou la véritable histoire des otages français au Liban , Dominique Lorentz
Catégorie : Affaire politico- financière française
Affaire des paillotes
Le 19 avril 1999 un incendie ravage la paillote Chez Francis construite dans l' illégalité en bord de mer , sur le domaine public maritime , plage de Cala d' Orzo au sud du golfe d' Ajaccio en Corse -LRB- France -RRB- .
L' affaire des paillotes
Après une enquête rapide , le 23 avril 1999 , certains objets appartenant à des gendarmes d' Ajaccio sont trouvés ensevelis dans le sable non loin_de l' incendie de la paillote Chez Francis .
Le 26 avril , cinq gendarmes et le colonel Mazères sont mis en examen et incarcérés .
Trois gendarmes du Groupe de Peletons de Sécurité -LRB- G.P.S -RRB- reconnaissent avoir incendié volontairement la paillote sur ordre du Colonel Mazères .
Le préfet Bernard Bonnet est placé en garde à vue et est suspendu de ses fonctions .
Le Colonel de Gendarmerie Mazères avoue avoir incendié la paillote sur instructions du préfet de Corse .
Le 5 mai 1999 Le préfet de Corse Bernard Bonnet est mis en examen , et écroué , il avance la thèse du complot .
Maître Vergès , plaide : l' opération paillote n' a été qu' une " manipulation barbouzarde " visant à " éliminer un préfet de Corse qui devenait gênant pour un gouvernement qui s' apprêtait à dialoguer avec les clandestins " .
Verdict du procès
- Verdict du procès 11 janvier 2002 :
- Bernard Bonnet préfet de l' époque : trois ans de prison , dont un ferme et trois ans de privation de ses droits civiques et civils .
- Gérard Pardini , ancien directeur de cabinet à la préfecture : 30 mois dont 6 fermes
- Henri Mazères , colonel de gendarmerie : 30 mois dont 6 mois fermes
- 18 novembre 2002 : L' affaire en appel
- 15 janvier 2003 : Condamnation confirmée en appel
- 13 octobre 2004 : Recours en cassation rejeté
- Mars 2005 : Recours en grâce rejeté
Le tribunal a jugé , après analyse de la loi , que si l' État était bien propriétaire , selon lui , des constructions incendiées , puisqu' établies illicitement sur le domaine public maritime , cela ne pouvait cependant autoriser le préfet à ordonner la destruction des paillotes dans les conditions réalisées .
En_ce_sens , les prévenus ont été condamnés solidairement à payer environ 17_600 euros de dommages-intérêts aux parties civiles pour les seuls meubles entreposés dans les immeubles qui , juridiquement , ne leur appartenaient pas .
-LRB- Jean-Michel Dumay , Le Monde du 11.01.02. -RRB-
Catégories : Wikipédia : ébauche politique française .
Wikipédia : ébauche Corse-du-Sud .
Wikipédia : ébauche droit .
Affaire politico- financière française .
Ajaccio
Affaire des photos d' Adnan Hajj
L' affaire des photos d' Adnan Hajj est une controverse ayant pour objet certains clichés " mis en scène " et des retouches réalisées par le photographe libanais indépendant Adnan Hajj , sur des photos diffusées par l' agence Reuters et reprises par la presse internationale .
Le photographe Adnan Hajj travaillait depuis plus de dix ans pour l' agence Reuters au Proche-Orient [ 1 ] .
Il fait partie de l' équipe de photographes engagés par Reuters pour couvrir le conflit israélo- libanais de 2006 .
Les photos incriminées
Plusieurs clichés de ce photographe sont particulièrement dénoncées au début du mois d' août 2006 , comme ayant subi d' importantes retouches ou des mises en scène [ 2 ] .
D'_après les commentaires les accompagnant dans leur publication par Reuters , il_y_a notamment deux clichés du même immeuble , datés respectivement du 24 juillet et du 5 août 2006 , qui sont censés représenter chacun un " immeuble de Beyrouth détruit la nuit précédente par un raid israélien " [ 3 ] .
Deux autres photos sont également montrées du doigt .
Elles représentent , en date respectivement du 22 juillet et du 5 août 2006 , la même femme -LRB- habillée de la même façon et reconnaissable par des caractéristiques physiques sur son visage -RRB- , pleurant la destruction de sa maison [ 4 .
D'_autres photos semblent assez clairement avoir subi des retouches pour accentuer leur caractère dramatique .
Sur la première , des fumées ont été rajoutées par ordinateur sur une photo représentant un quartier de Beyrouth ayant subi une attaque aérienne .
Sur la seconde photo , des missiles censés avoir été lancés par un F-16 israélien et leurs trajectoires dans l' air ont été rajoutées par ordinateur .
Réaction de Reuters
Après la mise en évidence de certaines de ces " anomalies " par les blogs américains Little Green Footballs et My Pet Jawa , l' agence Reuters a retiré les clichés et a admis que des photos avaient subi des modifications [ 5 ] [ 6 ] .
Le 6 août , Reuters a mis un terme à sa collaboration avec Adnan Hajj qui se défendait en expliquant avoir voulu retirer des traces de poussières sur les photos originales et que ses conditions de travail , dans un lieu peu éclairé , avaient conduit à ces modifications des photos [ 7 ] .
Le 7 août , les neuf_cent_vingt photos de Hajj sont retirées de la base de données de Reuters [ 8 ] .
Voir aussi
- Pallywood
- Salam Daher -LRB- alias Casque Vert -RRB-
Références
- ^ " Smoke and Mirrors : Reuters Dismisses Photog Over Doctored Beirut Picture " , Editor and Publisher , August 6 , 2006 .
Page accédé le 2006-08-07 .
- ^ Reuters Doctoring Photos from Beirut ?
. Little Green Footballs .
Dernier accès à l' URL : 2006-08-07 .
- ^ Reuters calls the doctor , take 2 .
Power Line .
Dernier accès à l' URL : 2006-08-07 .
- ^ Extreme Makeover - Beirut Edition .
Drinking From Home .
Dernier accès à l' URL : 2006-08-08 .
- ^ " Reuters admits altering Beirut photo " .
Ynetnews .
Dernier accès à l' URL : 2006-08-07 .
- ^ " Reuters admits to more image manipulation " . Ynetnews .
Dernier accès à l' URL : 2006-08-07 .
- ^ " Reuters drops freelance Lebanese photographer over image " , Reuters , August 6 , 2006 .
Page accédé le 2006-08-07 .
- ^ " Reuters withdraws all photos by Lebanese freelance " , Reuters , August 7 , 2006 .
Page accédé le 2006-08-07 .
Liens externes
- -LRB- fr -RRB- Opinion : " L' affaire Adnan Hajj : première manipulation emblématique de l' ère numérique " par Andre Gunthert for ARHV , 8 août 2006
- -LRB- fr -RRB- " La guerre des images " -LRB- avec une explication des modifications -RRB- par Alain Korkos , La Boite à Images , 8 septembre 2006
- -LRB- en -RRB- Cox & Forkum dession politique à_propos_de la controverse , 7 août 2006
- -LRB- en -RRB- " Digital Tampering in the Media , Politics and Law " .
Histoire récente de la manipulation d' images , par Hany Farid , professeur associé à l' Université du Massachusetts , 7 août 2006
- -LRB- en -RRB- Opinion : " Institutional Failure at Reuters " par Thomas Lifson pour Yahoo! News , 7 août 2006
- -LRB- en -RRB- " Reuters ' Image Problem " par Brendan Bernhard dans LA Weekly en ligne , 9 août 2006
Catégories : Wikipédia : ébauche conflit israélo- arabe .
Histoire de la photographie
Affaire des piastres
L' affaire des piastres , trafic de piastres ou scandale des piastres est un scandale financier et politique de la Quatrième République né dans le contexte de la Guerre d' Indochine .
Après avoir contribué à diminuer le soutien à la guerre , il tourna court avec la perte de l' Indochine et le climat politique et social qui s' ensuivit , peu propice aux débats sur la période coloniale ; il n' eut pas de suites judiciaires en France .
Le trafic -LRB- 1948-1953 -RRB-
La piastre en_question était l' unité monétaire de l' Indochine française , frappée par la Banque d' Indochine qui couvrait l' Inde et l' Asie-Pacifique .
Son cours était administrativement lié au franc , à la façon du franc CFP ou du franc CFA , afin , théoriquement , de décourager la spéculation monétaire et d' affirmer la domination française dans la région .
Le taux de change pour les transferts Indochine-France fut fixé à 17 F en 1945 , alors_que sa valeur sur les marchés asiatiques était de 10 F ou moins .
La différence , payée par le Trésor -LRB- donc le contribuable français -RRB- , s' élevait à environ 8,50 F selon Jacques Despuech , auteur du premier livre sur l' affaire -LRB- 1953 -RRB- .
Pour bénéficier de ce taux avantageux et subventionné , il fallait justifier le transfert et obtenir l' aval de l' Office indochinois des changes -LRB- OIC -RRB- .
La situation troublée de l' époque ne facilitant pas les contrôles de l' OIC et encore moins les inculpations , un trafic florissant par_le_biais_de fausses exportations , fausses factures ou surfacturations , impliquant Français et Vietnamiens , se mit en_place à_partir_de 1948 .
Toujours selon J. Despuech , l' empereur Bao Dai , l' ancien haut commissaire Emile Bollaert , les généraux Charles Mast et Revers , l' ancien ministre Paul Giaccobi auraient été au nombre des personnages importants qui s' y adonnèrent .
François Mitterrand était alors ministre des Colonies -LRB- à_partir_de 1950 -RRB- et René Bousquet directeur de la Banque d' Indochine .
Révélation et fin
L' affaire fut mise à jour en 1950 , mais ne suscita qu' un intérêt limité chez les parlementaires , jusqu'_en 1952-1953 où l'_on se rendit compte que le Viet Minh en profitait également , et qu' une partie des armes tournées contre les soldats français -LRB- y_compris tiralleurs sénégalais et marocains -RRB- avaient donc été acquises grâce_à ce trafic entretenu par l' avidité de certains .
L' effet sur l' opinion fut extrêmement dommageable .
René Mayer , Président du Conseil , y mit fin en 1953 en ramenant le taux des piastres à 10 francs , un cours plus réaliste , mais ce en violation des accords du 8 Mars 1949 et des accords de Pau de 1950 ; les États associés du Cambodge , Laos et Viêtnam ne furent pas consultés .
Le 12 février 1953 , l' OIC imposa aux banques le recours au crédit documentaire pour le règlement des importations provenant de l' Union française .
Ces changements furent mal accueillis au Vietnam et considérés comme un signe avant-coureur du retrait français .
En_fait , il semble que la France ait cherché à sauver au_moins l' Institut d' émission , pièce maîtresse de sa diplomatie financière en Indochine .
Une commission parlementaire fut constituée le 2 juillet 1953 ;
le 12 décembre suivant , L' Assemblée nationale décida de tenir secrets les travaux de cette commission .
En juillet de l' année suivante , les accords de Genève étaient signés et l' Indochine française avait vécu .
Épilogue
Selon Bernard B. Fall , ce trafic fut l' une des sources de profit dans_le_cadre_d' une colonisation dont le bilan général s' avéra très négatif pour le budget national .
L' aventure coloniale n' a été profitable que pour quelques grandes compagnies privées , comme la Banque d' Indochine , Descours & Cabaud , les Brasseries et glacières d' Indochine , etc .
Les banquiers n' ont jamais été arrêtés ni jugés , à_l'_exception_de la Chartered Bank qui fut inculpée pour des pratiques nettement frauduleuses .
Le " scandale des piastres " fut ramené à l' état de détail exotique et insignifiant , indigne d' être mentionné dans les manuels d' histoire .
Voir aussi
Références bibliographiques
- Lucien Bodard , " La guerre d' Indochine : L' enlisement , l' humiliation , l' aventure " , Grasset , 1_500 p. Paris 1997 .
- Yves Gras , " Histoire de la Guerre d' Indochine " , Plon , Paris , 1979 .
- Paul Mus , Viêtnam : Sociologie d' une guerre , Seuil , Paris , 1952 .
- Jules Roy , La bataille de Dien Bien Phu : Julliard , 1963 ; Albin Michel , 1989 .
- Thanh H. Vuong , Théorie des contextes et relations internationales : départ de la première Guerre d' Indochine , dans Études Internationales , Vol. XVII , No. 3 , pp. 571-597 , septembre 1986
- Thanh H. Vuong , colonisations du Viêtnam et colonialisme vietnamien , dans Études Internationales , Vol. XVIII , No. 3 pp. 546-571 , septembre 1987 .
- Despuech Jacques , Le trafic des piastres , Deux rives , 1953
Liens internes
- Indochine française
- Guerre d' Indochine
Liens externes
- Guerre d' Indochine
- Colloque sur les fraudes
- dernier résumé : l' " Affaire des piastres "
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